Krysth Gray
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 |  Sujet: Chasse Gulon - Territoire de la confrérie vent de feu ( PV : Pathos ) Mar 22 Fév - 20:51 | |
| - Krysth Gray -
. The end of your road .
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. La lumière filtrait a travers les rideaux couleurs bordeaux recouvert au fil des longue années de règne des Vent de feu par de lourdes couche des poussière . Dans la grande salle régnait l'agitation , les longue tables de bois brune et nervuré par le temps avait été enlever afin que l'on puisse disposer de plus de place . La reine était assise sur son trône derrière elle on avait fait place nette et installer tout une ranger de siège pour les conseillers royaux , le reine dictait et les conseillers exécutait tel était fait la loi des Vent de Feu . A droite du trône se tenait un siège un peu en recul réserver a l'adjoint de la confrérie , Pathos Paranda . Devant l'imposante estrade bien qu'elle soit énorme ne représentais qu'une infime partie de la salle . Sur tout son long les gardes royaux c'était posté vérifiant d'emblée chaque villageois qu'il ne aventures plus loin que l'entrée pour prévenir tout risque éventuel d'accident ou d'emportement de la populace . . En effet la confrérie du Vent de Feu avait une organisation plutôt étonnante , plusieurs jour par an on organisait la cérémonie des confrontations des paysans venait de tout le royaume pour exposé a la Reine leur problème et celle si envoyait des patrouille ou chargeait ses conseiller de réglé les différente affaires auxquels ils était confronter enfin au termes de la journée en signe de gaîté on organisait un immense festin . Mais en attendant les paysans arrivait dès l'aurore pour rapporté leur diverse difficulté . Ainsi tout le long du jour les affaires était pour le plus souvent insignifiantes , canicules , maladies , mauvaise organisation des revenus , quelque vol . En abrégé rien de bien inquiétant qui ne requièrent des mesure particulière ainsi Krysth fut-elle surprise quand , après avoir reçut un paysan se plaignant du commerce difficile , apparut une paysan visiblement nerveux . . Il jeune 20 ou 25 ans tout au plus si elle n'avait pas été aussi attentive rien ne l'aurait surement distinguer des autres . Il était plutôt grand mais contrairement aux autres il se tenait droit , ses cheveux mi-long et était laisser aller librement encadrant sont visage de ses lourdes boucle blondes sans doute éclaircie par de long travaux dans les champ . Son visage fin et anguleux était celui de quelqu'un de fier mais ses yeux couleur cobalt fouillant la salle en quête d'une inexistante menace montrait son anxiété , ses mains dure et abimé étaient celles des prolétaires habituer a la vie dure qu'il tenait le long de son corps , serrée , comme pour cacher son malaise . Krysth s'arqua sur son siège pour mieux l'observé , formant un contraste intéressant avec sa personnes ses vêtements était négligé , taché de sang et même déchiré . Enfin quand se fut a sont tour de se présenté son regard croisa furtivement celui de la reine achevant de lui confirmer le sentiment de détresse environnant . Celle ci se tourna vers son lieutenant , lui aussi semblait avoir remarquer qu'il sortait du lot et s'était redresser sur son siège . Krysth sans retourna vers le paysan lui adressant un signe de tête pour lui indiquer qu'ils était prêt a l'entendre . Il n'hésita pas , et se relevant il prit la parole .
" Majesté , nos campagne sont envayie , envayie par un fléaut ! "
" Un Fléau dit-tu ? Qu'entend tu par la ?? "
" Une bête rode madame , assoiffé de sang elle a déjà dévasté de nombreux troupeaux les pauvre fou ayant voulu la piéger on disparu ou sont mort "
" Voila un affaire plutôt mystérieuse ... Que sais tu de plus sur cette bête "
" Rien madame si ce n'est qu'un enfant a vue son ombre rodé dans les montagne du nord " . Après un bref coup d'œil a son adjoint elle se tourna vers ses conseiller qui , assit sur leur fauteuil tremblait d'anxiété , la situation semblait plutôt inquiétante assez pour qu'elle ne prenne pas le risque d'envoyer un détachement de soldat . Si se que se paysans racontait était vrai ils se ferait décimer sa décision était prise , bien qu'elle soit consciente que le conseil tenterait surement de la dissuader de s'aventurer a la recherche de la créatures elle ne voyait personne d'autre de plus expérimenter et c'était après tout son devoir de protéger tant le petit peuple que les membre de sa confrérie . Ses conseiller ne se trompèrent pas sur son silence et la connaissant bien , les exclamations se mirent bientôt a pleuvoir fessant montre de leur désaccord général . Il parlait dans le vide , un aventure n'était-elle pas toujours bonne a tenté ? Sa décisions était prise avec elle viendrait son lieutenant . | |
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Pathoss Paranda
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| | Sujet: Re: Chasse Gulon - Territoire de la confrérie vent de feu ( PV : Pathos ) Ven 4 Mar - 15:24 | |
| [Pathoss prend deux "s" ;3] [Désolée du retard ! T.T] Pathoss
Paranda C'était ça, cette vie.
C'était ça, cette pluie infertile.
Fallait-il oublier les soucis ?
Tromperie... Était-ce futile ?
La silhouette reptilienne de Pathoss se découpait sur ce qui paraissait être un trône de taille moyenne, aux côtés de celui de la Reine. La Reine, c'était la Chef de la Confrérie du Vent de Feu. Une Confrérie cachée. Recluse des autres territoires. Un endroit inaccessible pour tous les autres. La Reine, c'était une personne tout aussi insaisissable, de part son caractère étrange et les inhabituelles expressions qui traversaient son visage. Comment comprendre une personne dont on ne parvenait pas à deviner les sentiments ? Ne serait-ce que quelques-uns, de la bravoure à la peur ? La souveraine était assise sur un large trône qui ne semblait pas être des plus confortables, cependant, c'était quelque chose qui n'était pas donné à tout le monde. Bien sûr, les classes sociales sont toujours là, inévitables, elles paraissent nous poursuivre et rire dans notre dos pour nous rappeler qu'elles sont là, ancrés dans l'idéologie des êtres que nous sommes. Il ne faut pas nier que les plus riches se fichent de tout cela. C'est logique, tout simplement. Le jeune homme vêtu de noir avait son coude appuyé sur un accoudoir, et sa tête reposait sur son poing fermé. Son regard, ce n'était pas celui de quelqu'un qui s'intéresse à toutes les choses qui se trouvent autour de lui, non, c'était plus que le contraire. Un regard totalement vide d'émotion, si ce ne fut un ennui mortel qui y prenait l'entière place. Il ne prenait même plus la peine de détailler toutes les personnes du peuple qui passaient devant lui, la reine et la garde. Ces gens étaient tellement futiles...Tellement inutiles ! Et lui, que faisait-il là ? Cet être, enfouit dans sa noirceur la plus profonde, où seuls deux perles jaunes brillaient, sans vraiment luire, d'une lueur qui dictait toute son envie de partir de cette immense salle. Elle était poussiéreuse, cette pièce, vraiment...Ne faisaient-ils jamais le ménage ? Ils n'avaient pas spécialement la notion de propreté. Et ces lourds rideaux chargés de minutieuses graines que le temps dépose inlassablement...Cette atmosphère était plus que pesante. Pour Pathoss, elle était détestable. Car il détestait la vie en communauté. Il détestait voir tous ces êtres se pavaner ou se traîner aux pieds de la reine, qui tentaient de lui arracher le plus infime des regards. Mais lui, il avait quelque chose que les autres n'avaient pas, hormis peut être la reine, mais il ne la connaissait pas assez bien pour juger son caractère. Il était mystérieux. Muet ? Je ne dirais rien là-dessus. Mais, Pathoss ne parlait pas, il en avait décidé ainsi. A quoi bon dire des choses qui n'intéressent personne, ou trop transcendantes pour les imbéciles ? Je crois que plus personne n'osait le déranger. Je ne pourrais dire s'ils avaient une peur bleue de ce second bien spécial, ou s'ils en avaient marre de le voir ne rien répondre à leurs paroles. Après tout, c'est ce que Pathoss voulait, être ignoré. Être évité comme une bête féroce qu'il est préférable de mettre en cage avant d'en garder les séquelles. Les deux fragments de Soleil balayaient la salle d'un air indifférent. Il ne fallait en aucune façon prêter attention à toutes ces personnes, ou elles allaient aussitôt le remarquer, puis s'élever à un rang qui ne leur convenait absolument pas. Elles allaient se croire importantes, alors que ce n'en était pas le cas.
Mais, pourquoi tous ces gens passaient ici, dans la salle du trône ? Hmm...C'était comme ça. En fait, Pathoss se fichait un peu de ce que la reine choisissait de faire. Il se fichait, en quelque sorte, que cette confrérie s'épanouisse et atteigne son apogée. Il laissait Krysth dicter ses propres ordres, en se contentant d'hocher simplement la tête. Déjà, parce qu'il ne parlait jamais, pas même à sa souveraine, mais aussi, parce que cela l'importait peu. A vrai dire, il n'était pas sûr de connaître la raison pour laquelle elle l'avait nommé second. Peut être voulait-elle tirer profit de son aptitude particulière à se taire ? Au moins, elle pouvait faire presque tout ce qu'elle voulait sans avoir à supporter le désaccord courroucé du second...Mais, souvent, elle évitait de s'adresser à lui de manière arrogante, moqueuse, ou autre chose de ce genre. Déjà, elle n'avait aucune raison de faire cela. De plus, Pathoss n'aurait pas pu l'affirmer de manière fondée car nous ne savions pas grand chose d'elle. Cela dit, revenons-en à cet "évènement". Ce jour, et peut être d'autres, les habitants venaient se "plaindre" chacun leur tour devant la reine. C'était peut être pitoyable à dire ainsi, mais, en fait, c'était un bon choix de la part de la reine. Elle pouvait ainsi savoir ce qui n'allait pas chez son petit peuple. Beaucoup passèrent devant Krysth, et certains parurent dire quasiment la même chose, c'était comme un mauvais refrain, ceux qui vous reviennent sans cesse en tête quand vous voulez avoir le calme. Leurs plaintes étaient si peu qualifiables de problèmes que Pathoss ne les écoutait même plus. Il laissait son regard fatigué de l'humanité se perdre dans le vide. La reine aussi devait s'ennuyer. Ces fondements n'étaient pas certains, mais je peux vous dire que si vous trouviez de l'amusement dans cela...Alors plus rien ne pourrait vous ennuyer. Le pire, c'est qu'il fallait avoir une patience hors du commun pour ne pas s'endormir à cette réception. Le pire ? Non, pas vraiment...La patience, c'est une qualité exemplaire que Pathoss sait manier à merveille. On aurait presque toujours l'impression que ce qui passe devant ses yeux le lasse. On a du mal à déceler ses émotions, à lui aussi. On ne sait jamais ce qu'il ressent. Et en plus de ça, aucune parole ne franchit ses lèvres fines. On le croit muet, c'est tout.
Un paysan, juste ça. Il était si pitoyable. Dire que son Âme innocente avait été voué à cette étrange société, et il se voyait désormais obligé d'oeuvrer sur des choses qui ne lui appartiendront peut être jamais. N'en avait-il pas assez ? Ou alors, il se plaisait dans cette condition déplorable sans vraiment savoir qu'il se laissait traîner dans la boue. Soit. Dire que ce genre de personnes pourrait déjà tenir une épée entre ses mains et partir sur les sentiers de ses rêves...Il avait environ une vingtaine d'années, ou un peu plus. Ce n'était pas des vêtements qu'il portait, c'était des haillons, oui. Du tissus presque en lambeaux...Pitoyable. Recouvert de boue séchée, en plus de ça. Ah, et il y avait autre chose. Du sang ? Imbibé dans les mailles à l'allure rêche. Il portait un peu de barbe, ses traits étaient profonds, surement parce qu’il ne mangeait pas entièrement à sa faim, et des cernes soulignaient ses yeux brillants et fatigués malgré son jeune âge. Les yeux de félins du second vêtu de noir se posèrent discrètement sur la tête du pauvre homme. Il s'avança avec une démarche pénible. On sentait que son squelette s'était déjà fait à son travail. Sa colonne vertébrale devait se courber un peu plus chaque jour, et à la fin de sa vie, il serait un vieillard à l'échine trop pliée. Quelle vie misérable !
" Majesté , nos campagnes sont envahies , envahies par un fléau ! "
" Un Fléau dis-tu ? Qu'entends-tu par là ?? "
" Une bête rode madame , assoiffée de sang elle a déjà dévasté de nombreux troupeaux les pauvres fous ayant voulu la piéger ont disparu ou sont morts ! "
" Voila une affaire plutôt mystérieuse ... Que sais-tu de plus sur cette bête ? "
" Rien madame si ce n'est qu'un enfant a vu son ombre roder dans les montagnes du Nord. "
Ah, sa voix aussi était déjà faible. Bien bien...Une bête associée à un fléau. Quelle bande d'ignares. Avoir peur d'une simple bestiole qui dévorait des troupeaux...Ici, c'était le peuple le véritable ennemi, le véritable démon. Après tout, les animaux étaient là en premier, nous apeurer était juste une façon de montrer que ce territoire resterait indomptable. Les iris de l'adjoint sans voix passèrent du paysan à la reine. Elle jeta également un bref coup d'oeil à son adjoint, aussi indescriptible que les autres. Les quelques conseillers s'étaient presque mis à trembler de peur et d'une angoisse terrible. Quoi ? C'était ça, des conseillers ? Une vulgaire bande de trouillards juste bons à s'enfuir, oui...Le dernier espoir d'une nation : au moins, ils seront les seuls à avoir survécu. Un sourire moqueur fendit le visage de glace de Pathoss. Face au silence de Krysth, il déduit qu'elle n'enverrait pas de troupes sur les lieux. Ce qui signifiait qu'elle irait soit seule, soit avec son adjoint. Si elle avait choisi de jeter ses soldats dans la gueule du loup, elle l'aurait déjà clamé. Des exclamations de désapprobation fusèrent dans tous les coins de la salle. Le peuple manifestait son désaccord. N'avaient-ils pas confiance en leur reine ? Idiots ! Elle sait ce qu'elle fait ! Pathoss décida de fermer les yeux sur cette ironie. Après tout, chacun d'entre eux avaient besoin d'aventure. Alors, une bête décimait des troupeaux ? Elle était soit géante et affamée, soit petite et avide de tueries inutiles. Mangeait-elle les bêtes tuées ? Tant de questions, que le jeune homme ne poserait finalement pas. Pathoss se leva normalement de son siège, n'accordant plus un regard d'importance aux nombreuses silhouettes. La plupart se turent quand il bougea. Une habitude ? Hmm...Peut être. Il fourra ses mains plus que gelées dans les poches se sa grande veste noire à col haut, et marcha jusqu'à la sortie, de sa démarche silencieuse et macabre. Ses longs cheveux noirs à l'apparence si douce tombaient dans son dos. Sa main saisis la poignée de la lourde porte, et il fut dehors.
Pathoss inspira une bonne bouffée d'air frais. Enfin. Quelle horreur, cette vie en société ! Quel gâchis ! Et tant de questions à leur poser, tant de choses qui resteront sans réponse. Ne plus jamais parler, cela signifiait aussi qu'il ne devait plus rien attendre des autres. Il marcha lentement dans la cour, posant son regard sur les arbres. Ils n'étaient pas tous coupés, heureusement. Son regard à la couleur particulière prit un éclat étrange, à la fois rempli de regret et de mélancolie. Il s'arrêta dans un coin où personne ne passait. Comment les autres le voyaient-ils ? Comme un monstre dépourvu de sens ? Mais, fallait-il mieux être craint ou aimé ? Quelle question ! C'était si dur de comprendre les humains qui nous entouraient, même impossible pour lui. L'adjoint avait perdu l'habitude de cette vie en société. C'est pour cela qu'il avait aussi du mal à déceler les émotions de la souveraine, mais des autres aussi. A quoi cela servirait-il de se poser des questions sur l'étrange fléau qu'était cette bête inconnue ? De toute façon, ils réussiraient, c'était certain. Restait juste à la trouver. Sceller une forme de vie, ça avait été dur pour lui. Mais maintenant, c'était autre chose. Des pas derrière lui le tirèrent de sa rêverie. Il rêvait toujours. Et il était tout aussi incompris qu'incompréhensible aux yeux de son entourage. Qui était-ce, cette fois ? La reine, peut être. Si c'était le cas, ça ne serait que pour lui dire qu'ils partaient, et rien d'autre. De toute façon, Pathoss n'avait pas de monture à préparer, il lui suffisait simplement d'invoquer sa bête mythologique. Il baissa les yeux, indomptable.
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